Voici, chers amis lectrices et lecteurs, bonjour, une petite lettre postée tel un texte quinzomadaire. Pourquoi ? Parce que !

D’abord blog4ever (qui m’héberge gratos, merci !) me houspille, mes newsletters seraient trop rares. Et les destinataires aussi, vous ne vous inscrivez guère, pourquoi ? Enfin ces newletters vous arrivent parfois en spam, vous ne les trouvez pas toujours…

Donc je me gaspille un peu ! Dommage vraiment car elles sont bien foutues mes lettres de nouvelles, pas piquées des hannetons.

J’en profite (ce verbe est toute ma vie !) pour vous rappeler que vous pouvez les (re)lire toutes (4 ?) en fouillant les archives de ce blog merveilleux.

Et n’hésitez pas non plus à retourner à mes écrits antérieurs pour voir la suite dans mes idées !

Hors ce préambule prosaïque, what else ?

Saviez-vous que juin était mon mois préféré ? Sa lumière souveraine, ses journées qui s’étirent, son solstice qui fait se relayer le printemps et l’été.

Je vous décrirai donc ce juin, mon juin, par le menu, dans les deux prochains textes. Je vous parlerai ensuite, par esprit de contradiction, travail et carrière professionnelle pendant les mois de juillet et d’août souvent voués aux vacances. Sauf si l’actualité pressante ou mon inspiration parfois capricieuse venait bousculer ce calendrier.

Et si vous me parliez vous aussi, lectrices et lecteurs sachant écrire ?

Si vous me racontiez les choses de la vie ? Ou, deux ou trois choses de la vôtre, en tout cas.

Car tu m’intéresses, public chéri ! J’ai l’air, comme ça, d’aimer blatérer seul mais l’air ne fait pas tous les jours la chanson. Qui es-tu, public chéri ? Je vais fermer les yeux et poser les mains sur la table (avec quelques voisins comparses réquisitionnés pour l’occasion). Si tu m’entends, frappe trois coups !

Sinon, rendez-vous le 15 !